Pourquoi un restaurant obtient-il une étoile Michelin et un autre pas ? Toutes les questions sur le prestigieux guide tentent de trouver des réponses dans À la limite : à la recherche des étoiles Michelin (sur Apple TV+, nouvel épisode diffusé tous les vendredis), la série créée et produite par le chef des médias Gordon Ramsay qui a réussi à se rapprocher et à s’approfondir plus que jamais.
Dans chaque épisode, la production se rend dans une ville où ils ont choisi deux ou trois restaurants ou chefs différents. Tous les élus se battent pour obtenir leur première étoile, ou leur deuxième ou leur troisième… ou, du moins, conserver ce qu’ils avaient. Dans un compte à rebours vertigineux, la production montre leurs processus créatifs, leur travail quotidien, dans la cuisine, dans le salon, au marché et même chez eux.
Tout ce que nous avons pu souffrir et apprécier L’ours dans sa réalité maximale. La tension économique, la pression, l’investissement émotionnel dans la cuisine dans le but de plaire, de remplir la salle, de ne pas perdre d’argent et de remporter les étoiles tant attendues. Les frustrations, la colère, les déceptions, les joies…
Dans le premier épisode (déjà sur Apple TV+), tourné à New York, ils ont sélectionné trois restaurants : The Musket Room, Cocodaq et Nōksu. Seul le premier, de la chef Mary Attea, possédait déjà une étoile qu’il se bat pour conserver ; les deux autres voulaient le premier. Cocodaq tente de sophistiquer le plat le plus réconfortant des États-Unis : le poulet frit. Nōksu est également une proposition très risquée… dans un autre sens. Un restaurant dans une station de métro new-yorkais, pour six convives seulement, un chef de 29 ans, ambitieux et créatif, un projet dans lequel les investisseurs présents investissent deux millions de dollars par mois.
Le maître de cérémonie nous emmène dîner dans chacun d’eux. Au bord, Jesse Burgess, expert gastronomique, fondateur de la plateforme TopJaw avec laquelle il parcourt le monde de restaurant en restaurant depuis plus d’une décennie.
