Cap Karoso, Sumba, Indonésie | Voyageur

Pour plusieurs années, Nihi Sumba C'était le seul hébergement de luxe à Sumba, une île d'une beauté sauvage pleine d'épopées des plages de surf, des chevaux sauvages et une ancienne culture animiste. Peu à peu, la concurrence est apparue, mais rares sont les endroits qui ont atteint le niveau de Cap Karoso.

Travail de Fabrice et Evguenia Ivara, un couple français, la propriété est située dans la partie ouest de l'île, presque intacte, entourée de uma mbatangu, les maisons locales traditionnelles aux toits végétaux pointus qui sont là depuis des siècles sans changer de conception.

Contrairement à de nombreuses stations balnéaires de l'île, Cap Karoso ne cherche pas à imiter le style local, et son 47 chambres et 20 villas Ce sont des structures en béton avec des lignes droites et un air tropical moderne. Sous l'ombre tachetée de ses pergolas, les invités, que l'on retrouve dans des endroits comme Tulum et Santa Teresa, se promènent pieds nus, profitant des chaises longues, des piscines, des restaurants et une plage avec des vagues douces.

Mais malgré ces décisions de conception, Cap Karoso possède encore une part de la magie de cette île légendaire. Une œuvre impressionnante à base de fils colorés décore l'un des murs de la salle, tissé par Kornelis Ndapakamang, l'un des artisans ikat les plus connus de Sumba. Il y a aussi symboles, sculptures et peintures de créateurs autochtones partout.

Avec les pêcheurs qui travaillent aux alentours et les chevaux sauvages qui s'approchent de temps en temps, Il est impossible d'oublier qu'il s'agit de Sumba. Quand le soleil se couche, tout le monde se rassemble pour boire spritzers pina colada à la papaye et au jacquier pour vous mettre en appétit avant de dîner à la grande table commune, où sont servis d'authentiques festins à base d'ingrédients fraîchement pêchés ou récoltés. L'été, il sera le chef Olivier McGeorge, du restaurant parisien durable français, celui qui est à la tête de votre cuisine. A partir de 285 €.