Luisa Ricart n’a jamais pensé que son premier livre concernerait des rencontres inattendues (avec des ex-parties) dans un train, une maternité qui n’arrive pas, des moments qui peuvent définir une vie (ou non), des fragments et des sensations d’ici et là. Mais c’est que La vie n’est presque jamais comme nous planifions donc Malgré le discrédit (Lunwerg), Ses débuts littéraires sont le résultat de conversations personnelles avec son éditeur lors de la préparation d’un autre livre. C’est aussi un recueil de coups de pinceau sur Mode, bon goût, choses qui en valent la peine et, bien sûr, voyager. Eye, que pour l’auteur, défenseur à l’ultranza de la zone de confort, Travel n’a pas à faire avec la prise d’un avion ou la mise en place dans une valise. Nous discutons avec elle de cela et d’autres problèmes qui nous inspirent.
Condé Nast Traveler. Comment « voyage sans quitter la maison » pour vous?
Luisa Ricart. Si voyager signifie se plonger dans une culture, le respecter et l’ouvrir votre esprit à vos nuances, le faire à la maison n’est pas si différent. Implique, surtout, Honorez le nôtre: cuisiner avec des ingrédients locaux et saisonniers, Préparer les recettes – Dans ce cas – Catalan: Pà amb Tomàquet, Emboting, Formatge, Pequet de Peix, Escalivada, Botifarra Dolça, tué amb mel, BunyolsRespectez mes rythmes, embrassez mes passe-temps (même le plus absurde, comme mettre des machines à laver et tenir des vêtements au soleil) et Jugez-moi le moins possible. J’ai découvert que ma maison peut également être un univers, une façon différente et plus intime de voyager.
Cnt. Qu’est-ce qui en vaut la peine ou non? Est-il surévalué de voyager?
LR C’est merveilleux, mais nous avons idéalisé. Cette chose qui est une expérience transformatrice qui nous rend des êtres plus sages, spirituels ou cultivés. En réalité, ils sont files d’attente sans fin dans les aéroports, restaurants impossibles à réserver, Les musées bondés, les Starbucks partout … Pour moi, la clé n’est pas tant à enquêter dans le nouveau, mais à approfondir le quotidien.
Cnt. Quel voyage, littéral ou métaphorique, a changé votre vie et pourquoi?
LR Aucun voyage n’a changé ma vie, du moins pas les circonstances qui l’habitent. Mais tous, d’une manière ou d’une autre, m’ont fait grandir.
Cnt. Un pays qui vous fascine?
LR Italie.
Cnt. Que transportez-vous dans la valise?
LR Un cahier de singe et une protection solaire. Le solarium me détend, alors j’essaie de me donner consciemment.
Cnt. Prenez-vous toujours des photos lors de voyages? Quel est le plus spécial?
LR Oui, je prends toujours des photos, même avec un appareil photo analogique. Bien que j’essaie de contempler avant de capturer. Par modestie, je ne fais pas partie de ceux qui s’interposent, leur visage, devant le paysage, quoi qu’il en soit. Un très spécial est Un portrait que j’ai fait à ma mère à Marrakech. Elle portait un beau caftan. J’avais tort et je ressentais de la douleur, même ainsi, il a décidé de m’accompagner dans cette aventure, main dans la main. C’était inoubliable.