Ce n’est pas seulement ce qu’il faut voir à Monaco, c’est de le découvrir à travers les yeux de Cecilia Bartoli, la grande dame de l’opéra mondial et le directeur actuel du célèbre siège social de la Principauté. Ce sont les coins avec lesquels vous vouliez partager Condé Nast Traveler.
L’opéra Monte-Carlo: «C’est là que je respire, où je rêve, où je crois. Ce n’est pas seulement mon lieu de travail, c’est un bijoutier d’histoire, d’émotion et de beauté. Jetez les yeux pour sentir l’empreinte de Charles Garnier, De tous les grands artistes comme Caruso qui ont traversé cette pièce. La taille intime de l’auditorium crée un rare proche du public: Les chanteurs offrent le sentiment de pouvoir les toucher, Comme s’ils étaient là, avec nous, sur scène. «
Galerie Hauser & Wirth: «C’est l’un des endroits les plus stimulants de Monaco. Il incarne le dialogue parmi de nombreuses disciplines: Musique, arts visuels, pittoresque, etc. Ici, nous avons forgé un lien solide par le biais de projets interdisciplinaires qui nourrissent notre imagination partagée. C’est un endroit avant-gardiste et vibrant où les expositions ouvrent des perspectives qui invitent à la fois la contemplation et la réflexion. «
Joséphine Baker Square: «Situé à la frontière avec Roquebrune-Cap-Martin, je la vois comme un symbole de cette femme libre qui a toujours vécu parmi les mondes, les cultures et les luttes. Il incarne une forme d’élégance compromise et de courage artistique. C’est aussi sur cette frontière, entre la France et Monaco, où il est joué, s’ouvre, une partie de l’histoire européenne, à l’image de Joséphine et, à bien des égards, de l’art lyrique »est mitigé.