La pentine en question Il a constitué sa première exposition. Cependant, le terme ‘Prend en charge les surfaces‘Il a été initialement inventé par l’artiste Vincent Biouès (Représenté dans la cabine de Fondation Saint-Paul pour gagner pour une œuvre en acrylique sur Canvas sans titre de 1974), pour la première fois en 1970 en tant que titre d’une exposition dans le Musée d’art Moderne de Paris.
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Prend en charge les surfaces Il a effectué quatre expositions collectives entre 1970 et 1971, partageant des idées théoriques et artistiques communes. « Une caractéristique unique du mouvement au cours de cette période a été que la plupart des artistes se proclament des peintres, à l’exception de Bernard Pagès et Toni Grand, bien que les œuvres déstabilisent le spectateur, habituée aux toiles de tension. »
« Il convient de noter qu’au-delà d’une déconstruction de la peinture vers une certaine grossissage de l’environnement, ce mouvement cherchait également à décentraliser une histoire de l’art qui était devenu trop capitaliste, à la fois au sens de Paris et du Centre, comme au sens du marché de l’art. Par conséquent, il était naturel de se rassembler ici, en Saint-Paul-de-Vanceun ensemble d’œuvres historiques de ces artistes.
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Lors de l’exploration de la collection de Hubert Bonnet et celui de la Ceyson & Bénétière, Vitrani a réussi à rassembler de nombreuses œuvres du mouvement, datant de la fin de 1960 et du début de 1970.
« Je voulais mettre ces œuvres en dialogue avec d’autres artistes internationaux, à la fois historiques et émergents, qui ne sont pas directement liés au mouvement – pour les affinités formelles, la radicalité de leurs pratiques, un esprit de contradiction ou un désir de contrepoint – pour éviter le pigeon de l’histoire dans l’histoire, ou le mouvement dans le mouvement. L’objectif était de créer des troubles qui ont modéré toute lecture trop linéaire ou évidente, pour créer une sensation de la désinterpose. »
L’exposition accueille plus de quinze œuvres historiques du début du groupe, « rassemblées ici dans une présentation unique », ajoute Vitrani. « Le exposition Il n’est pas destiné à suggérer que tous les artistes présentés ici sont directement liés à l’héritage des soutiens-sud-partenaire, comme s’il y avait un groupe central et une constellation d’artistes connexes. Il cherche plutôt à créer des dialogues fertiles entre certaines œuvres, périodes et géographies, ouverture – d’une manière plus complexe, amicale, spéculative ou même contradictoire – nœuds, correspondances et imaginaire partagée. C’est une façon de visiter l’histoire sans confinement dans le passé, sans jamais abandonner une mentalité actuelle qui brise les liens avec le passé. «
