Tourisme de masse : ce sont les destinations les plus effondrées au monde

Au cours des dernières décennies, des lieux ou des destinations qui n’étaient auparavant accessibles qu’à quelques-uns sont devenus assez courants. C’est ainsi que le tourisme de masse a envahi les villes, les villages et les espaces naturels qui jouissait auparavant d’un statut qui confinait presque à une utopie inaccessible. Un phénomène qui comporte certains avantages et de nombreux problèmes.

Parmi les avantages Le bénéfice économique est remarquable, même s’il n’est pas réparti équitablement entre la population, mais plutôt joue en faveur des principaux agents touristiques de la région.

Cependant, le inconvénients Ils sont beaucoup plus répandus et touchent davantage de personnes. Certains d’entre eux sont l’augmentation des prix de location, des restaurants et d’autres activités commerciales liées au tourisme ; dégradation de l’environnement; la pression supplémentaire exercée sur les services publics locaux (transports, hôpitaux…) ; et le déplacement de la population locale, qui ne peut pas se permettre les prix des logements dans les zones touristiques et doit vivre ailleurs.

Dans certaines destinations, Les signaux d’alarme sont allumés depuis longtemps et des mesures urgentes s’imposent. Elles sont devenues, surtout pendant leurs hautes saisons, de véritables fourmilières. Ce sont quelques-unes des destinations qui subissent le tourisme de masse.

Venise, Italie

Venise, ville unique au monde pour ses canaux et sa riche histoire, est confrontée à une grave crise de surpopulation touristique. Chaque année, plus de 25 millions de personnes visitent cette petite ville qui ne compte qu’environ 50 000 habitants. dans sa vieille ville. Les rues, les ponts et les places, comme la célèbre place Saint-Marc, sont constamment bondés.

Ce tourisme excessif affecte non seulement la qualité de vie des habitants, mais aussi l’intégrité de la ville, menacée par la montée des eaux et la pression des grands navires de croisière, qui Ils doivent désormais accoster dans des ports alternatifs, comme celui de Marghera. Pour résoudre le problème, les autorités ont mis en œuvre des mesures telles que l’imposition d’une taxe d’entrée et restrictions sur le tourisme d’une journée.