Je ris, le projet nazi qui perce le sous-sol de la Pologne

Les Polonais ont bien choisi leur langue. Le pays correspond parfaitement à l’intensité de la langue, qui est de faibles révolutions, sibilantes, mais précipitées dans sa succession de sons similaires tels que Psh et Shot et Shchpour les transcrire d’une manière ou d’une autre. En l’entendant, on sent patiner sur ces vastes surfaces gelées, entre les rivières, les côtes, les empires et les époques. Administrer sans contrôle total de leurs mouvements ou une notion solide de ce qui sous-tend sous la surface et le temps. Répéter le double et les ESE.

Tabalenguas est un problème géographique et aussi temporaire. Ce n’est pas seulement la prononciation; Ils sont également les changements de nom de ses villes, qui reflètent les changements de pays, les minorités acculées, la soif de patrimoine, divergente selon la région. Pologne, la « terre de Campos »a le charme de la frontière, des mystérieux lieux de transition.

Et, soyons clairs: malgré la vitalité de sa Varsovie incombustible, le jeune de Wroclaw, Gdansk ou Poznan, ou le pittoresque d’un rural qui n’abandonne pas, La Pologne est traversée par un froid. Personne ne peut l’ignorer. Il existe des marques partout, qui donnent à tout le pays une gravité qui peut vous écraser contre la mémoire ou, au moins, contre la notion de marcher sur l’histoire d’un continent. Là, ils entrent en collision la culpabilité et la victimisme de deux europas.

Essayez de lire Zagajewski ou Stasiuk OA Twardoch. Plus vous en savez, plus vous pouvez imaginer. La Pologne, dans une large mesure reconstruite, se prête à recréer le passé avec des hologrammes, pour remplacer et renommer les choses. Pour rechercher également ce qui n’est pas là, pour briser le sol ferme et creuser plus en détail. Nous arrivons à sa grammaire diabolique.

Haute Silésie, cette sortante capricieuse qui est ancrée dans la République tchèquec’est un bon paradigme de cette complexité. La région de Polyglot, qui a été balançante entre différents empires, est gardée par les hiboux de la chouette, dont les pics sont également marqués par des châteaux de Picudos. Le paysage est écrasant, l’un de ces points de confluence, où les identités et les expressions linguistiques changent d’une ville à l’autre. Là où ils le voient, dans l’innocence vierge de leur nature, c’était un élément clé du III Reich, qui a laissé, encore une fois, plus d’espace pour la fantaisie que de la connaissance.