Votre premier séjour au Bristol Vous avez immédiatement envie de vous sentir chez vous. Ou du moins… cela semble être le cas.
Voulez-vous être comme ces clients qui se déplacent dans le magnifique bâtiment (en 2025 il fêtera ses 100 ans), avec le bonheur de se savoir le plus parisien possible. La deuxième fois que vous séjournez au Bristol, vous vous détendez déjà, remarquez que vous êtes chez vous et essayez même de caresser l’insaisissable Socrate lorsque vous le croisez. Oui, Socrate est un chat, la nouvelle mascotte de l’hôtel – ou peut-être son propriétaire – et le roi d’Instagram suite au départ à la retraite de son prédécesseur, Fa-raon. Le Bristol a beau être centenaire, il paraît aujourd’hui plus jeune que jamais. Lors de notre récente visite, nous avons confirmé qu’en Le Bristol After Dark, les soirées au Bar du Bristol, Il ne nous manque qu’Emily, celle de la série. Il y avait tout
Paris et… c’est peut-être pour ça qu’elle avait disparu. Après les danses obligatoires, le petit matin du lendemain a été plus supportable grâce au petit-déjeuner toujours excellent au Café Antonia et le plongeon dans la piscine photogénique que le propriétaire de l’hôtel a fait concevoir le professeur Pinnau, l’architecte d’Onassis, pour que sa femme ne manque pas la Côte d’Azur pendant son séjour à Paris. D’où la fresque emblématique peinte avec un navire et toute cette esthétique nautique, d’un rétro fascinant qu’on évite seulement quand, au détour d’un coup, Vous sortez la tête et au loin vous apercevez la Tour Eiffel. Quelle image. Important : vous venez également au Bristol pour dîner. L’Épicure primé, du chef Arnaud Faye, et le plus décontracté 114 Faubourg ; à la fois incontournable et toujours très vivant car c’est de ça qu’il s’agit : plus de Paris, impossible (à partir de 1780 €).