Le pluriel: la rencontre artistique que vous ne pouvez pas manquer cette semaine sainte si vous voyagez à Formentiera

Parfois, une étincelle suffit pour transformer un endroit. Un geste, une idée, une serrure de testaments. Dans Formentier, Cette étincelle a son propre nom: Le pluriel. Cette réunion artistique, qui renvoie ce Semaine de Pâques Avec plus de force et de poésie que jamais, convertit l’île – encore une fois – en un Laboratoire de créativité et un refuge de talents.

Le suivant Samedi 19 avril, La ville de Le Savina Il sera transformé en scène ouverte grâce au pluriel. Il n’y aura pas de sièges ou de rideaux numérotés qui sont levés, mais beaucoup à regarder, à écouter, à ressentir. Parce que le pluriel n’est pas un festival, ni un juste, ni une exposition à l’utilisation. C’est plutôt Une célébration collective de l’art et de l’inspiration que la Méditerranée donne.

L’initiative, conçue par Olga Ramos, Lara Trigo et Esther Fernández, Il est né avec la volonté de visiter les talents locaux et de tisser des ponts entre les créateurs de différentes disciplines, Qu’ils soient des talents émergents et des artistes consolidés.

« Chaque année, nous cherchons non seulement à rendre visible talent local, mais aussi offrir Une plate-forme de dialogue et de collaboration pour les artistes de différentes disciplines. Formentera est un lieu d’inspiration et nous voulons que le pluriel reflète cet esprit créatif », explique les fondateurs.

Le pluriel

Une ode à multidisciplinaire

Dans cette édition, le pluriel rassemble une affiche aussi éclectique que stimulante. La danse de Eira Riera Ribas, les bijoux artisanaux de Melkart et Carla Pérez, Les aquarelles de Carmen Arbós, Les installations de Poisson belén ou les explorations visuelles de Victoria Ellm Ce ne sont que quelques-unes des propositions qui composeront cette symphonie de l’île.

Il y aura également de l’espace pour la musique – avec les performances de Antonio Ponce et Roxana Mouriño-, pour les audiovisuels – comme celui de Isabel Pajares et Ainhoa ​​Ezkurra– et pour la danse qui est entrelacée avec le textile, par la main de Simona Colzi et Marta Chandra. Tous avec un dénominateur commun: La recherche d’un lien honnête avec le paysage, l’identité et la mémoire de l’île.