L’olivier est ancienne, est la Méditerranée, est témoin de l’histoire et, surtout, nous définit. Il y a environ 10 000 ans, sa version sauvage, l’Acebuche, a été domestiquée pour la culture Et à partir de ce moment, la production de pétrole a également commencé. Depuis lors, le vin, l’huile et le pain ou, quelle est la même chose, UVA, Olive and Seed (les petites-filles de Dionisio) Ils sont devenus des aliments de base parmi les peuples de la Méditerranée et de la subsistance pour leur civilisation.
L’olivier était si important pour les Grecs, qui La légende dit qu’Athènes a été fondée dans l’endroit précis où la déesse Athena a collé sa lance et un olivier est apparu. À partir de ce moment, il a maltraité une olive sacrée Un crime d’impiété Et pour la polis athénienne, le pétrole était une source de revenus si importante qu’elle a servi à financer les deux campagnes militaires et Expéditions pour l’annexion des nouvelles colonies.
Il nous dit Rafael Fontán Barreiro dans son livre L’Almazara de Catón. Oliviers et huile en Grèce et à Rome (Godall Edicions) Une approche informative et rigoureuse du monde de l’olivier dans l’ancien qui comprend Une sélection d’auteurs tels que Teofrastro, Virgil, Pline the Elder, Catón, Columela et Paladio Traduit par l’auteur lui-même qui, en plus d’avoir été professeur et professeur de grec et de latin tout au long de sa vie dans un institut de Leganés, est le traducteur de l’une des éditions les plus appréciées de L’énéide à l’espagnol.
L’olivier pour les Romains était une ressource stratégique. Il est démontré par le fait que Catón, Varrón et Columela ont publié leurs agronomes à des moments graves pour le champ romain. En tant que récit de Fontán, les guerres contre Carthage au deuxième siècle AC et les guerres civiles successives du premier siècle avaient dépeuplé et laissé sans travail le champ, Une restauration était donc urgente et qui a conduit les auteurs les plus importants de Rome à développer tous ces traités dans lesquels ils vont écrire sur L’olivier, ses soins et ses besoins, ainsi que la collection, le moulin à huile et la préservent.
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Le puissant caton (deuxième siècle AC), connu sous le nom de censur, Parce que l’une de ses tâches était précisément était de faire le recensement et donc de décider qui était un citoyen romain et qui n’est pas minutieux avec la question de la gestion et des affaires: «Al pater familias – Écrivez Catón – il devrait être bien construit; Un entrepôt pour l’huile, un autre pour le vin et de nombreux pots à attendre, Si le cas est, l’augmentation des prix: elle sera bonne pour l’hacienda, sa valeur et sa réputation », écrit-il.
Pour Rafael Fontán, le manuel de Catón «Je donnerais toujours au fermier des recrues aujourd’hui pour commencer dans la culture des oliviers: Le choix de l’intrigue appropriée (par climat, hauteur, orientation et type de sol), la plantation, la collection, le transport et le stockage, la fabrication de l’huile et La marinade des olives. En ce qui concerne les moulins à huile, le titre du livre fait déjà référence aux principes qui, selon Catón, devraient être construits. Une bonne zone de téléchargement et de stockage facilement accessible, une salle de broyage et une autre pour les presses, où l’huile sortira pour être collectée et affinée par des processus de décantation. «
Cependant, quelque chose que l’enseignant insiste est que Dans le monde classique, l’huile pour les cosmétiques et les parfums était beaucoup plus importante que dans le cadre de la nourriture. Soins du corps a popularisé l’huile d’olive parmi les utilisateurs de l’avant ou du gymnase dont ils avaient besoin De grandes quantités d’huile pour répandre leur corps à la fin de l’exercice et de la salle de bain. Le grec était celui qui a utilisé l’huile dans ses soins personnels et barbares qui préféraient celui des autres graisses animales. En plus, Des sommes fortes ont été payées pour l’huile mélangée avec la poussière et la sueur que les athlètes grattent À la fin de vos combats ou des exercices de carrière.