« Sur le bateau du charme », Pedro Alonso et son road movie personnel

« Ce film est un prétexte pour réfléchir Comment pouvons-nous nettoyer les logiciels avec lesquels nous vivons actuellement ? et cela pose évidemment des problèmes », écrit-il dans ses notes avec son co-créateur, Enrique Baró. « Il y a quelque chose dans notre configuration actuelle qui ne nous va pas bien. Quelque chose qui génère des problèmes évidents de santé mentale et de santé publique en Occident.

Alonso a structuré le projet à travers les Lettres qui divisent le voyage en chapitres et « sont comme les étapes du processus d’apprentissage ». Et plus tard, en organisant le voyage, ils ont vu qu’il se structurait « de la zone humide à la zone sèche, de la frontière sud à la frontière nord » du Mexique, sans se soucier du fait que ce n’était pas complètement linéaire et en faisant très attention à ne pas devenir « trop pirates », mais sans craindre que leurs masques ne tombent au cours de ce voyage.

Lettre d’amour au Mexique

En plus d’un parcours responsable, réfléchi et bien préparé à travers les cérémonies et la recherche de réponses aux questions que nous devrions tous nous poser depuis notre confort accéléré, Dans le navire du charme est une déclaration d’amour au Mexique. « Je suis comme un folklore, j’aimerais vivre la moitié de l’année en Espagne et l’autre moitié au Mexique », avoue Alonso. « Je vais très fréquemment au Mexique depuis 10 ans, peut-être un peu plus. Le Mexique est une explosion, Culturellement, c’est un pays très effervescent, où le surréalisme n’est pas un mouvement culturel, le surréalisme est dans les rues. C’est un pays qui m’émeut, et le long métrage que j’écris actuellement en fera partie au Mexique », avance-t-il.

Depuis Wirikuta, dans le désert ou Galerie des Glaces, parce que ces paysages magiques et ancestraux reflètent qui vous êtes, nous sommes, nous étions et nous serons, ils clôturent le voyage en exigeant effort et participation de la part du spectateur, pour choisir son propre chemin à suivre à partir de là, pour trouvez votre propre carte car il ne s’agit pas de trouver des trésors, mais plutôt de trouver l’itinéraire, le chemin, le voyage. C’est, comme toujours, ce qui est important. Et suivez-le et voyez-le, si possible, avec d’autres lunettes différentes.