ZerocalCare (littéralement, « Zero Cal ») est le pseudonyme de Michele Rech (Arezzo, 1983), Dessinateur de bandes dessinées et illustrateur italien. C’est le nom d’utilisateur qui, inspiré par une publicité d’un produit contre Lime, a choisi pour un forum Internet et le surnom avec lequel il le connaîtrait des années plus tard la moitié de la planète.
Bien qu’il ait grandi en France, le pays de sa mère, il vivrait bientôt à Rome, où il est resté depuis lors. Spécifiquement à Rebibbia, un quartier de la périphérie au nord-est de la ville, En dehors de l’agitation touristique et principalement connu pour sa prison homonyme, pour être la station de terminal nord-est de la ligne B du compteur et pour être situé dans l’ancienne route de la Valeria Shark Road.
Là je grandirais entre Centres sociaux d’Okupados, concerts punk et philosophie Bord droit (Né dans l’environnement punk hardcore et caractérisé par l’abstinence du tabac, de l’alcool et de la consommation de drogues). Son amour pour le dessin et l’illustration serait lié à son militantisme, faisant des affiches pour des concerts et des démonstrations, et des couvertures pour les groupes punk, hardcore et OI!
Les activités contre le sommet du G8 à Gênes (juillet 2001, dont la manifestation a entraîné une forte répression policière et la mort d’un assistant, Carlo Giuliani) marquerait sa vie et son travail pour toujours. À cette époque, il commençait à professionnaliser son passe-temps, commençant à collaborer dans divers journaux et magazines (Librazione, Lettre, Repubblica XL, Canemucco…).
Fin 2011, il a terminé son premier livre, Prophétie de tatouavec lequel Il a remporté le prix Gran Guinigi, Le prix le plus important de la bande dessinée italienne (récompensée au Festival de bandes dessinées et jeux). Il semble que les fonctionnalités qui caractériseront tous leurs travaux ultérieurs à ce jour: des histoires autobiographiques, où je mélange la réalité et la fiction, établie dans Rebibbia, où le protagoniste (ZerocalCare) semble souvent accompagné de ses amis (Secco, Sarah) et de sa conscience (représentée dans un armadillo anthropomorphique).