Carnaval de Villarrobledo : fanfare et mousse

Transmis de génération en génération, le Carnaval de Villarrobledo est transporté dans le sangtellement que En 30 ans, je n’ai jamais manqué un rendez-vous., même lorsqu’il vivait à l’étranger. Imaginer: 11 jours de fête pour profiter, aussi bien des habitants que des visiteurs, chirigotas, Soirées thématiques –dans lequel ne manque pas la fierté de La Mancha, l’enterrement de la sardine ou la grande nuit de noces–, le course automobile folle et surtout les défilés, depuis celui des enfants jusqu’au régional pour adultes, auxquels participent des habitants d’autres villages de La Manche.

Ce carnaval est donc une fête à partager chaque année J’ai le plaisir d’inviter aux amoureux de cette fête, comme cette 2024, dans laquelle j’aurai 28 amis de différentes régions d’Espagne, d’Italie ou même du Brésil. Beaucoup d’entre eux répètent, car celui qui le sait revient.

De par son histoire, sa singularité et sa complexité, le Carnaval de Villarrobledo (Albacete) est une référence nationale qui allie tradition et divertissement. Une fête qui commencé en 1510 et que, grâce à l’union de tous les citoyens, à l’enthousiasme de la plupart des carnavaliers et à la participation des plus petits, en 2011, ce fut déclaré d’Intérêt Touristique National.

L’UN DES CARNAVALS LES PLUS LONGS D’ESPAGNE

Étant l’un des plus longs d’Espagne, depuis commencer le jeudi Lardero jusqu’au dimanche de la gueule de bois, Villarrobledo parvient à se transformer complètement pendant 11 jours. Ses rues sont remplies de couleurs, de fantaisie et d’humour. Bien qu’il ne se distingue pas par l’utilisation de plumes, de paillettes et de paillettes, il est différent des autres pou soyez un carnaval de fanfares et de caoutchouc mousseun tissu polyvalent avec lequel créer des costumes colorés et imaginatifs, et surtout chaud, qui aide à faire face aux basses températures de la province en cette période.

Il y a 500 ans, lorsqu’un seul jour était célébré, il n’y avait qu’une seule règle : personne ne pouvait enlever son masque. Une journée de divertissement et de malice qui connut un moment d’interruption pendant la guerre civile, réapparaissant en 1948 après avoir reçu une autorisation spéciale du gouverneur civil d’Albacete, qui donnera le feu vert à cette célébration pour laisser libre cours à l’imagination et à l’ingéniosité. .