48 heures à Belgrade

Des vues de carte postale au rythme de la musique des Balkans, des temples orthodoxes spectaculaires, des paysages futuristes, de l’art urbain et une vie nocturne très divertissante. Tout cela et bien plus encore vous attend au cours de ce voyage de 48 heures à Belgrade.

VENDREDI APRES-MIDI : LES INCONTOURNABLES

Nous commençons à connaître la ville à partir de l’une de ses images les plus célèbres : Place de la Républiqueoù se trouvent certains des bâtiments publics les plus emblématiques, comme le Musée National, le Théâtre National ou la statue équestre du Prince Michael. Après avoir traversé le piéton Knez Mihailova, À seulement 100 mètres se trouve un autre symbole de la capitale serbe, le Place Terazije, qui est considéré comme le centre de Belgrade. Et au bout de la même rue, se dresse l’un des points de vue naturels incontournables de ce voyage : le Forteresse de Kalemegdan.

Il y a des preuves historiques du 3ème siècle avant JC, d’abord les Celtes se sont installés, puis les Romains et enfin les Slaves sont arrivés qui ont construit la forteresse actuelle. Il est préférable d’arriver à l’heure du coucher du soleil. (en hiver, au plus tard à 16h00), à bien observer le confluent de la rivière Sava dans le Danube et la région de Nouveau Belgrade, avec ses gratte-ciel, ses ponts et ses bâtiments modernes. Espérons qu’une fanfare de rue animera ce moment avec de la musique balkanique pertinente.

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Avant de quitter le parc, on s’arrête quelques instants devant l’imposant El Vencedor, un monument construit en 1928 pour commémorer la victoire de la Serbie sur l’Empire ottoman et l’Empire austro-hongrois pendant les guerres balkaniques et la Première Guerre mondiale. 14 mètres de haut, C’est l’une des œuvres les plus reconnues de Ivan Mestrovic et se compose d’une figure masculine en bronze, avec un aigle dans la main droite et une épée abaissée dans la gauche, reposant sur une colonne dorique à cannelures et située sur une haute base cubique.

DÎNER DU CENTENAIRE ET DÎNER D’APRÈS FUTURISTE

Pour le dîner, nous nous sommes dirigés vers une autre enclave historique, Znak Pitanja ou KafanaKafana C’est ainsi que l’on connaît les tavernes traditionnelles en Serbie. Construit dans le style balkanique en 1823 par le diplomate et marchand Naum Ičko avec l’argent fourni par Miloš Obrenović, prince de Serbie, ce restaurant C’est en fait le plus ancien de Belgrade.est inscrit sur la liste des monuments culturels protégés par la République de Serbie.