Que Grootbos est l’un des plus beaux endroits de la planète Nous nous en doutions à partir des références, mais nous l’avons confirmé ipso facto sur place. Dans notre cas, à l’atterrissage, car une autre surprise nous attendait au Cap, le travail de Jan, Jorge et de l’équipe d’Aventura África : un hélicoptère privé de Silvercross Helicopters nous emmènerait à Walker Bay, au sud du Cap de Bonne-Espérance, et profiter de l’étape de un vol panoramique fascinant.
Falaises démoniaques, longues plages de sable blanc, montagnes verdoyantes Bien sûr, ils font rêver les cinéphiles parc jurassique…et tout à coup, la réserve naturelle privée de Grootbos est apparue. Le rêve devenu réalité de Michael Lutzeyer, père de Jan, notre hôte, est bien plus qu’un hôtel. C’est au début des années 1990 que les Lutzeyer, qui connaissaient la région, aperçurent un terrain à vendre près de Gaansbai, une ville connue sous le nom de lieu d’été parmi les locaux mais en dehors du tourisme international.
En 1994, Michael et son frère Tertius ont ouvert le charmant et familier Grootbos, mais peut-être n’avaient-ils pas imaginé que trente ans plus tardgrâce à la ténacité de chacun, leur projet, partagé entre le Garden Lodge et le Forest Lodge, accumulerait une reconnaissance internationaledont celui de Condé Nast Traveler comme l’un des meilleurs hôtels du monde.
Nous sommes situés au cœur de ce qu’on appelle le Royaume Floral du Cap, qui Il abrite la plus grande concentration d’espèces végétales de la planèteet 70 pour cent de ses 9 600 plantes ne poussent nulle part ailleurs. Entre-temps, les plus de 3 500 hectares de la réserve privée de Grootbos abritent 907 espèces de plantes – dont sept ont été découvertes ici et une centaine sont endémiques -, 118 d’oiseaux, 29 de mammifères et 21 d’amphibiens.
D’ailleurs, là-bas, dans cet Atlantique sauvage sur le point de devenir l’Océan Indien – cela se passe à quelques kilomètres de là, au Cap des Aiguilles -, le Les cinq grands marins Ils vous attendent : baleines, requins blancs, dauphins, manchots africains et phoques. Eh bien oui, tout indique que nous sommes dans l’Arche de Noé, mais un ciel très bleu éloigne tout soupçon d’un déluge universel.