Dublin pour les amateurs de livres

Dublin (Irlande) vous accueille avec son classique brouillard, pluie légère et froid atypique (Mais bien). Les toits en pente, la brique gris foncé dans laquelle on aperçoit l’effet de l’humidité au fil des décennies, les maisons basses aux portes colorées, la végétation la plus verte que vous ayez jamais vue de votre vie. Avec ce réglage Il est difficile de ne pas se sentir protagoniste d’un livre ou de ne pas avoir envie de commencer à l’écrire. L’inspiration vit dans cette ville comme l’un de ses habitants, et a accompagné les auteurs à accéder à l’élite de la littérature. Depuis Oscar Wilde à Sally Rooney Ce sont les auteurs, musées et librairies (et quelques extras) qu’il ne faut pas négliger lors de votre voyage à Dublin si vous êtes amateur de livres.

AUTEURS, MUSÉES ET LIEUX INCONTOURNABLES

Nous ne pouvons commencer par autre chose que James Joyce (Dublin, 1882), écrit par ce qui est considéré comme l’un des livres les plus importants du XXe siècle, Ulysse (1922). L’histoire se déroule tout au long 24 heures dans la vie de Léopold Bloom, Dublinois qui doit faire face à des situations liées à religion, famille et politique. Il s’inspire, comme le titre l’indique, de l’Odyssée, donc on s’attend à ce qu’il soit plus qu’usé. récit du voyage du héros, mais avec des touches burlesques et comiques. L’histoire se déroule bien entendu dans la ville natale de l’auteur.

Actuellement, vous pouvez visiter la maison où On raconte que l’un des protagonistes fictifs de Joyce a vécu, où se trouve le James Joyce Center au 35 N Great George’s Street. C’est devenu un musée dédié à l’auteur où vous pourrez voir le bureau où il a écrit, en apprendre davantage sur sa vie et son œuvre dans l’exposition permanente sur lui et ses personnages (la vraie porte de la maison de Leopold Bloom est dans le patio, oui). C’est aussi un lieu de expositions temporaires et point de départ de visites guidées littéraires de Dublin, qui suivent les traces de James Joyce et d’autres auteurs comme Oscar Wilde (Dublin, 1854).

Le portrait de Dorian Gray (1890) est, sans aucun doute, l’un des livres irlandais qui a accumulé le plus d’adaptations cinématographiques. Ils sont, au total, 20 films, le dernier en 2006, sans parler de la série, joue, etc., parce que nous n’avons pas assez de doigts et d’orteils sur lesquels compter. L’argument est bien connu de tous, bibliophiles ou non. Il hédoniste Dorian décrit par Wilde souhaite ne jamais vieillir et, en conséquence de ce souhait, le portrait peint de lui par l’artiste Basil Hallward, captivé par sa beauté, Il commence à vieillir et à montrer les dommages subis par son âme. pour les actes lubriques qu’il commet.