« Vallée des ombres » : une histoire dans le Triangle des Bermudes en Inde

Il existe un endroit au monde qui combine un caractère extrêmement religieux, un climat tropical qui fait pousser la marijuana en abondance, les fêtes partout, les routes de la drogue et le conflit typique des enclaves frontalières. Cet endroit est la vallée de Kullu, au nord de l’Inde, et sert de point de départ à l’histoire qu’il nous raconte. vallée de l’ombre.

Le directeur dit, Salvador Calvo (1898 : Le Dernier des Philippines, Adú), que pour tourner ce film dans des enclaves reculées du nord de l’Inde, il a convaincu les producteurs en leur disant que le résultat serait un film qu’il faut voir au cinéma, un de ceux dont les paysages (paisajazos) seraient un crime à voir sur un petit écran.

Et Calvo, voyageur invétéré et passionné d’aventure, connaissait déjà la région et était au courant du matériel qu’on pouvait rapporter. s’il tournait dans les régions de l’Himachal Pradesh et du Ladakh. À savoir, l’identité visuelle et l’idiosyncrasie de Manikaran, l’une des principales villes de pèlerinage traversées par la rivière Parvati ; la solitude des sentiers qui parcourent une nature qui s’ouvre indomptée au pied de l’Himalaya ; le calme sauvage et l’authenticité du monastère de Key Gompa dans la vallée de Spiti ; la beauté dangereuse du fleuve Zanskar ; ou les rues de Leh, la ville dans laquelle le protagoniste retourne reprendre contact avec la réalité.

Il l’a eu et l’équipe vallée de l’ombre Il a atteint les vallées et les chaînes de montagnes de l’Himalaya pour raconter l’histoire de Quique (Miguel Herrán), un jeune homme qui part en vacances en Inde avec sa petite amie Clara (Susana Abaitua) et son fils Lucas (Iván Renedo). Une nuit, alors qu’ils dorment dehors, des bandits les attaquent.

Quique est secouru par un résident local et emmené à un village isolé dans les montagnes, où, sans possibilité de contact avec l’extérieur, vous devrez guérir physiquement et apprendre à le faire émotionnellement. Vous aurez le temps : jusqu’à ce que l’hiver arrive et avec lui, le froid nécessaire pour geler le fleuve, seul moyen de communication avec le reste du monde.