UNE ODE À LA MUSIQUE
Sfhir habilement utilisé la forme du bâtiment, y compris le puits de lumière, pour intégrer la fresque murale dans la structure, créant ainsi un magnifique instrument de musique joué par un violoncelliste. « Quand vous le voyez, son immensité non seulement vous fait vous sentir petit, mais elle vous captive aussi et vous ne pouvez pas détourner le regard », disent-ils du SAC.
« Ce qui est beau, c’est que La nuit, il semble prendre vie : dans la zone du mât, Quand les voisins allument les lumières dans les escaliers, les frettes du violoncelle s’illuminent, créant une merveille visuelle », ajoutent-ils.
La fresque murale, à thème musical, rend hommage à Perla, un centre culturel populaire de la région qui a été démoli il y a des années. Les artistes participant au Perla Mural Fest ont interprété des œuvres liées à la musique, comprenant des instruments, des notes de musique, des artistes emblématiques et des références à l’histoire musicale de la ville et de la Galice en général.
« Je sais seulement que je ne peux pas m’arrêter »
Une phrase écrite dans un train new-yorkais l’a marqué à jamais : « Je sais juste que je ne peux pas m’arrêter. » Hugo Lomas, mieux connu sous le nom de Sfhir, Il découvre l’art du graffiti à l’âge de 14 ans et l’exploration artistique est la clé de son évolution.
Lomas a expérimenté multitude de techniques, ciselant chaque détail de manière laborieuse, presque obsessionnelle, jusqu’à atteindre l’hyperréalisme le plus grossier. Dans ses œuvres, il combine le graffiti avec différents outils tels que aérographes, pistolets, brosses ou rouleaux.
Ses œuvres sont visibles dans de nombreux pays : Italie, Espagne, Portugal, Chine, Amérique du Nord, Pays-Bas, Finlande, Allemagne, Angleterre, Belgique…
