Le manoir « Saltburn » que vous ne pourrez (probablement) jamais visiter

Le dernier film de l’année. Celui dont tout le monde parle. Ouais, Brûlure de sel (sur Prime Vidéo). Un film sans esprit de Noël. Et bien sûr, cela ne s’adresse pas à tous les publics. La surprise de ce Noël a en effet été que un diplôme qualifié pour les plus de 18 ans les années sont balayantes comme elles le font (c’est dommage qu’en Espagne nous ayons raté la sortie en salles).

Écrit et réalisé par Fenouil émeraude qui nous avons rencontré pour la première fois Camila Parker-Bowles dans les saisons trois et quatre de La Couronne et, plus tard, on l’a admirée en tant que scénariste et réalisatrice dans l’un des films surprises de 2020 (pleine pandémie), Une jeune femme prometteuse, dans Brûlure de sel continue avec cette intention de mettre le spectateur mal à l’aise à travers la satire sociale.

Olivier (Barry Keoghan) est un nouvel étudiant à L’université d’Oxford. Dès son arrivée, elle tombe immédiatement amoureuse d’un riche colocataire, le type le plus populaire, Félix. (Jacon Elordi). Il ne tarde pas à devenir son ami et ce dernier l’invite à passer l’été au manoir familial, une incroyable maison de campagne de la noblesse anglaise, Saltburn. Il y a tes parents snobs et extravagants (Rosamund Pike et Richard E. Grant), qui se croient modernes, mais classiques et classistes ; et sa sœur particulière et déstabilisée, Venetia (Alison Oliver); plus cousin et camarade de classe, Farleigh (Archie Madekwe) qui, comme lui, veut profiter des Catton.

L’été semblera invincible et inoubliable dans ce grand manoir à la Brideshead, même si autre chose me vient à l’esprit Le talent de M. Ripley du 21ème siècle. Le temps passe avec un horaire très marqué, les repas toujours aux mêmes heures, chacun dans une pièce de la maison. maison de maître. Au dîner, ils se déguisent toujours. Des promenades nues en journée, des heures entières devant la piscine moderne ou l’étang historique. Lectures, émerveillement devant les plats de Bernard Palissy ou marcher devant les tableaux des rois qui, avant eux, passaient par ces couloirs : Richard III, Henri VII, Henri VIII…